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  • Objectif : pays à revenu élevé Comment sortir de l’ornière ?

    La fébrilité politique qui a agité la République tout au long du deuxième trimestre 2014 s’est quelque peu résorbée depuis le vote de l’amendement constitutionnel. Petit à petit, l’économie reprend ses droits, notamment grâce aux consultations pré-budgétaires qui, cette année, ont démarré plus tôt que d’habitude. C’est donc le moment de faire le point sur la situation présente de l’économie locale et sur ses perspectives d’atteindre, d’ici à l’an 2020, le statut des pays à revenu élevé, comme le souhaite le ministre des Finances.

    Il va sans dire qu’un tel objectif dépend de la réalisation de conditions importantes. Elles feront l’objet de la deuxième partie de cet article. En première analyse, il ya lieu de se pencher sur un certain nombre de questions de fonds qui alimentent les débats en ce moment. Ceci aidera à cerner les caractéristiques de la situation actuelle.

    Croissance décélérée

    De 1980 à 2004, la croissance économique avait été égale à 5,5% en moyenne annuelle. Mais depuis ces dix dernières années, le rythme a beaucoup baissé : la moyenne de 2010 à 2014 avoisine 3,5%. Sans aucun doute, la crise économique mondiale a été un facteur négatif par rapport à la croissance d’une économie condamnée, par l’exigüité de son marche extérieur, à conquérir des marchés extérieurs où la concurrence fait rage. Mais ce serait faire l’autruche que de tout attribuer aux facteurs externes.

    En effet, les indicateurs qui suivent permettent de déceler des facteurs internes pesant sur la capacité de la croissance à s’accélérer.

    Regards sur la productivité

    L’activité économique dépend de l’apport conjugué de trois facteurs. Deux d’entre eux, la main-d’œuvre et le capital, ont une contribution quantitativement mesurable, soit la valeur ajoutée à partir d’une unité de main d’œuvre ou à partir d’une unité de capital.

    Le troisième facteur regroupe notamment la contribution de la gestion, de la technologie, de la formation, de l’innovation, et ainsi de suite. Ces contributions sont de nature qualitative. Elles sont regroupées sous le vocable : multifacteurs. Lorsque les contributions respectives de la main d’œuvre, du capital et des multifacteurs augmentent en termes de valeur ajoutée, on parle d’une hausse de la productivité. Lorsque ces contributions baissent, on parle d’une baisse de  la productivité.

    Selon les calculs de Statistics Mauritius, la productivité de la main-d’œuvre a enregistré une hausse moyenne annuelle de 2,9% de 2003 à 2013, mais avec une détérioration marquée en 2012 (2,1%) et en 2013 (0,2%). La productivité du capital a évolué en baisse de 2003 à 2013 (-0,7%) de moyenne par an, avec des résultats également mauvais en 2012 et 2013 (-0,9% et -0,4%, respectivement). Même message du coté des multifacteurs : hausse moyenne annuelle de 0,7% de 2003 à 2013, mais réduite à 0,1 % en 2012 et à la stagnation (0,0%)en 2013.

    On conviendra que ces résultats sont très décevants : comment l’économie pourra-t-elle croître à un rythme élevé et soutenu si les moteurs qui la propulsent sont grippés et vont jusqu’à faire marche arrière ?

    Ratio croissance sur investissement

    Par exemple, le comportement du facteur capital est problématique. On sait déjà que le taux d’investissement a chuté considérablement depuis plusieurs années, surtout du côté du secteur des affaires, ce qui a obligé le secteur public à redoubler d’efforts en termes d’infrastructures nouvelles ou réhabilitées. De 2010 à 2014, l’investissement moyen annuel est de l’ordre de 22,8% du Produit Intérieur Brut (PIB), avec la part du secteur privé diminuant de 75,5% du total en 2010 à 73,2% en 2014. Mais un facteur négatif additionnel doit être tenu en ligne de compte : c’est le ratio de croissance sur investissement, autrement dit ce qui constitue la part supplémentaire à la valeur ajoutée d’un investissement additionnel d’un montant donné.

    Ce ratio : croissance sur investissement est de l’ordre de 22,8% de 2010 à 2014, bien inférieur aux taux de 35 à 40 % enregistrés au milieu des années quatre-vingts, lorsque l’économie faisait des bonds considérables pour atteindre de nouveaux paliers, ce que les autorités souhaitent précisément voir se répéter dans un proche avenir.

     

    Dégradation démographique

    Alors que le capital investi n’est pas exploité au mieux de ses possibilités, il en est de même avec la main-d’œuvre,  dont la baisse conséquente de productivité a été soulignée ci-dessus. De plus, il se dessine un problème de fond qu’on a tendance à ignorer car il a la caractéristique de ces maladies qui rongent en silence avant de se manifester brusquement. Le recensement de la population, effectué en 2011, met le doigt sur ce phénomène.

    Tableau 1

    Population économiquement active (a)

     

    Avant incorporation Population Census

    Après incorporation Population Census

    Diminution

    2011

    582 800

    548.600

    34.200

    2012

    593.100

    556.300

    36.800

    2013

    606.900

    571.200

    35.700

    2014 (b)

    n.d.

    577.700

    n.d.

    (a)   Ce terme de population économiquement active désigne les Mauriciens de 16 ans ou plus qui ont un emploi ainsi que ceux qui, étant en mesure de travailler, sont à la recherche d’un emploi

    (b)   Estimations

    Source : Economic and Social Indicators nos : 1085 et 1114, Statistics Mauritius

    Comme on peut le constater au Tableau 1, la population économiquement active a été réduite par plus de 35 000 personnes par rapport aux estimations précédant le recensement. Quelles en sont les causes ? Sans une étude exhaustive, il est difficile de les énumérer dans leur totalité, mais on peut déjà identifier celles-ci :

    • La proportion grandissante des travailleurs étrangers de 23.000 en 2011 à 27.800 en 2014. Ces immigrés peuplent non seulement les secteurs traditionnels de la confection et de la construction, mais aussi et de plus en plus, de services à faible valeur ajoutée, comme la boulangerie ou le nettoyage, que tend à bouder une partie de la main d’œuvre mauricienne, celle-là même dont le manque de formation  adéquate et appropriée est un obstacle majeur à l’obtention d’un emploi.
    • Les jeunes professionnels qui peinent à se faire embaucher et, las d’attendre, vont chercher désespérément une herbe plus verte vers d’autres cieux.
    • Des femmes qui, elles aussi, connaissent un taux de chômage dépassant 12%, ce qui amène certaines d’entre elles à se tenir loin du marché du travail ou à se retirer.

    Taux de fertilité insuffisante

    Mêmes si les quelques causes précitées arrivent à disparaitre, la population économiquement active n’augmentera qu’à un rythme décéléré, tout comme la population tout entière de la République. Il faut savoir que le taux de fertilité chute depuis plus de dix ans, de 1,87 enfants en 2003 par femme en âge de procréer à 1,43% en 2012, ce qui finira, selon Statistics Mauritius, à mener à un déclin de la population d’ici à 2032. Les estimations de Statistics Mauritius ont été faites à partir d’un taux de fertilité de 1.50, ce qui est déjà plus élevé que celui de 2012. Il faut savoir que la population se renouvelle et se maintient à condition que le taux de fertilité soit égal à 2,1 enfants par femme en âge de procréer. Nous sommes de plus en plus éloignés de cet objectif.

    Taux de dépendance en hausse

    Par ailleurs, avec les personnes âgées qui vivent plus longtemps, la population économiquement active diminue en proportion de la population dite dépendante. Ainsi Statistics Mauritius estime que le ratio de dépendance ira croissant, de 393,4 par 1,000 habitants en 2012, à 400,8 en 2022 et à 408,9 en 2032. Voilà de quoi nous interpeller sur la capacité de l’économie mauricienne à se hisser à un plus haut statut de développement et de revenus, dans le contexte d’une population en croissance décélérée et avec une physionomie vieillissante.

    Politique nationale en faveur des pensions de retraite

    Ces considérations sur la dépendance, notamment celle des personnes âgées, ouvrent la voie à un présent sujet d’actualité, celui de l’épargne. En effet, comme dit l’adage, il faut épargner pour ses vieux jours ; par ailleurs, comme déjà évoqué dans ces colonnes (Week-End, 20 octobre 2013 – Regards sur l’épargne nationale), les personnes âgées tendent à désépargner pour profiter de leurs vieux jours. Les causes du ralentissement de l’épargne nationale ont été largement analysées dans l’article précité. Il n’y a pas lieu d’y revenir.

    Rappelons toutefois la suggestion à l’effet qu’une politique nationale de mise en place de fonds de retraite est hautement souhaitable : « L’encouragement serait de nature fiscale, aussi bien par rapport à la prime qu’à la pension. Il pourrait même se muer en une inscription automatique (moyennant la possibilité de se désinscrire, (comme au Royaume-Uni) pour des contribuables percevant des revenus au-dessus d’un certain seuil qu’il reste à déterminer, et les fonds ainsi mobilisés s’ajouteraient à l’épargne nationale et seraient disponibles pour des investissements.» ( voir article précité). Cela est soumis à l’attention de responsables de la politique fiscale, en vue du prochain budget.

    Politique fiscale et politique monétaire : coordination nécessaire

    Un autre sujet d’actualité est celui du taux pratiqué par les banques commerciales pour rémunérer ceux qui leur confient leur épargne. Il est bon de rappeler que ce qui intéresse le déposant, ce n’est pas le taux offert par la banque, mais la différence entre ce taux et celui de l’inflation, soit le taux réel. L’inflation est actuellement dans la fourchette de 3,5 % à 4%, soit plus élevé que les différents taux offerts par les banques et qui, dans la plupart des cas, sont tout juste supérieurs à 3%.

    Le déposant souffre ainsi d’un taux réel négatif, malgré le fait que le taux indicateur de la Banque de Maurice soit égal, depuis une année déjà, à 4,65%. Une telle situation s’est développée parce que, traditionnellement, la grande majorité des Mauriciens ne connaissent que le circuit bancaire comme débouché pour leur épargne et, qui plus est, gardent une grande fidélité à la banque qu’ils ont choisie au départ. Il faut dire, par ailleurs, que changer de banque relève du parcours du combattant, en regard de toutes les questions administratives auxquelles il faut répondre par mesure de sécurité. Il en résulte que le client ne sait pas « marchander » des taux rémunérateurs plus élevés. La récente décision de la Banque de Maurice d’émettre, au nom du Trésor, des bons porteurs d’intérêts à 6% (ou à 2%, plus le taux d’inflation) permettra une certaine compétitivité dans ce domaine de la rémunération de l’épargne bancaire. Voilà un bon exemple d’une collaboration fructueuse entre la politique fiscale et la politique monétaire. Mais il faut aller plus loin : l’épargnant mauricien a besoin d’être éduqué et formé en matière financière, et il est souhaitable que les institutions concernées et les professionnels de la banque, des finances et de la comptabilité s’organisent pour offrir des cours appropriés dès le cursus secondaire. Un Ombudsman du secteur financier, longtemps annoncé, mais, semble-t-il, aujourd’hui oublié,  pourrait aussi jouer ce rôle d’éducateur.

    Commerce extérieur et balance des paiements

    Pour terminer ce tour d’horizon des questions de fond qui concernent l’actualité économique, jetons un coup d’œil sur le commerce extérieur et la balance des paiements. Une première constatation : la mauvaise performance des termes de l’échange. L’indice des prix à l’importation croît plus rapidement  que l’indice des prix à l’exportation. Par exemple par rapport à l’année de base 2007=100, les termes de l’échange ont baissé de 83,4 en 2012 et à 88,5 en 2013. En clair, il faut exporter davantage pour se procurer des importations dont les prix grimpent.

    La conséquence majeure de ce déséquilibre est le déficit chronique du solde courant de la balance de paiements :

    44,6 milliards de roupies en 2011

    25,1 milliards de roupies en 2012

    36,2 milliards de roupies en 2013

    Maurice vit au-dessus de ses moyens, mais le pays a été très habile jusqu’ici pour soutenir ce rythme en ayant recours à des sources extérieures de financement, notamment des investissements directs et de portefeuille, des emprunts, mais aussi les apports extraterritoriaux des sociétés du global business. C’est ainsi que Maurice vient à dépendre davantage de flux de capitaux étrangers, ce qui accroît les risques d’instabilité financière.

    La balance des paiements, c’est-à-dire, le solde entre la totalité des entrées et des sorties de devises étrangères, est positive depuis plusieurs années. Ainsi de 2011 à 2013, quelque 27,9 milliards de roupies ont été engrangés en termes de flux nets positifs. En conséquence, le montant des réserves étrangères a grimpé de 81,5 milliards à la fin de 2011 à 105,0  milliards en 2013. S’étonne-t-on alors que les banques mauriciennes ont enregistré, en moyenne, d’avril à juin 2014, quelque 9,9 milliards de roupies en excédent de liquidités, c’est-à-dire des montants qui sont disponibles pour des projets d’investissement dont la raréfaction suscite des interrogations.

    Revoir la politique de la dette publique

    S’il est vrai que la priorité des priorités est la relance du taux d’investissement (24% du PIB en 2011 ; 20,7% prévu en 2014), il y a aussi lieu de revoir la politique de la dette publique, laquelle vise à accroître, depuis quelques années, la part provenant des sources étrangères. Ainsi, le poids de la dette publique étrangère était égale à 23,3% de la dette totale en décembre 2012.Ce pourcentage a pris l’ascenseur en 2013 (26,3%), il est estimé à 29,2 % à fin 2014. Il est censé atteindre 32% en décembre 2016.

    Il est souhaitable que le ministère des Finances module sa politique d’emprunt, et dans le court et à moyen terme, puise davantage pour ses besoins d’emprunts dans les excédents bancaires, faute de quoi les banques continueront à rémunérer de manière dérisoire des dépôts dont elles n’ont pas grandement besoin.

    Les réformes nécessaires

    Telles sont donc les principales questions que suscite l’actualité économique locale. Ces questions demandent des réponses dans le contexte de l’objectif souhaité, qui est d’atteindre un palier supérieur de développement économique. Deux rapports récents se sont penchés sur les mesures à prendre et les conditions à observer, notamment le No 58 du MCB Focus en juin 2014 et le Working Paper 14/134 du Fonds Monétaire International, intitulé Mauritius : The Drivers of Growth – Can the Past be Extended ? Le lecteur est invité à se référer à ces deux excellents documents. Ils sont riches d’enseignement.

    Ces deux documents prennent à défaut l’objectif officiel visant le statut de pays à revenu élevé en 2020. Reprenons brièvement les conditions qu’ils énumèrent pour que l’objectif officiel se réalise.

    Les prescriptions du FMI

    Pour le FMI, ce statut ne peut être réalisé qu’en 2025 si rien n’est fait pour corriger les divers obstacles au développement économique. Toutefois, moyennant un certain nombre de réformes, le statut peut être atteint en 2021. Cela voudra dire, notamment, que la croissance économique soit de l’ordre de 4 à 5% par an, accompagné notamment d’une hausse des taux des investissements et de l’épargne, de la réforme du secteur éducatif, du marché du travail et des entreprises publiques et, de réformes sociales basées sur l’aide ciblée. Autrement dit, il ne suffit pas de vouloir, il faut agir et avoir le courage et la détermination de prendre des mesures énergiques et parfois impopulaires.

    2025 ou 2020 ?

    Les propositions du MCB Focus vont dans le même sens. Avec le rythme de croissance actuelle, le rapport calcule que le statut de pays à revenu élevé ne sera atteint qu’en 2025. Il fait ainsi écho au FMI.

    Pour atteindre ce statut en 2020, une croissance moyenne de 5,8% par an est requise, mais pour y parvenir, de nombreuses réformes sont requises, telles que :

    • Un programme d’investissements avec des objectifs bien définis dans un dialogue constructif entre le public et le privé ;
    • La promotion de la recherche, notamment dans les nouvelles technologies, et à l’aide d’incitations fiscales ;
    • Le renforcement de la législation du droit de propriété, en vue d’encourager des projets innovants ;
    • La réforme des pensions ;
    • La diversification de marchés extérieurs ;
    • La modernisation du port ;
    • L’amélioration générale de la qualité des produits et des services
    • La réforme des institutions ; et
    • L’investissement adéquat dans l’éducation et la formation.

    Comme on peut le constater, le train de mesures précitées est du même ordre que les prescriptions et recommandations régulièrement évoquées par des observateurs de l’économie mauricienne. Il est toutefois nécessaire d’ajouter les quelques considérations suivantes :

    Réduire les inégalités sociales 

    Les inégalités se creusent à Maurice, comme l’indique la dégradation du coefficient de Gini depuis quelques années, soit sur une échelle de 0 à 100:

    41,3 en 2012

    38,8 en 2006/7

    37,1 en 2001/02.

    Un des moyens efficaces pour parvenir à inverser cette tendance consiste à augmenter les aides ciblées aux vrais pauvres (logements sociaux, nourriture adéquate…) tout en réduisant ou en éliminant les coûteuses aides universelles. A long terme, le meilleur moyen de réduire les inégalités est celui d’offrir à tout enfant mauricien la chance d’apprendre, de s’éduquer et de se former.

    Rehausser le taux de fertilité

    C’est faire fausse route que d’accepter comme une donnée immuable le présent taux dérisoire de la fertilité. On aura beau adopter toutes les mesures précitées, si la population stagne en nombre et, de surcroît, vieillit, il lui manque le dynamisme requis pour mener la barque à bon port. Le présent taux de 1,43 est inférieur à celui de la Chine, soit 1,50.Quand on sait comment la Chine a été forcée de desserrer sa politique d’un enfant par famille à cause des conséquences économiques et sociales, on devrait ici agir sans tergiverser. Vivement que le prochain budget prévoit que l’abattement fiscal pour les enfants ne soit plus plafonné à seulement trois d’entre eux par famille. Des incitations fiscales pour l’installation de crèches de bon niveau dans les lieux de travail seraient également bienvenues.

    Pour une croissance de qualité, respectueuses des valeurs

    Il convient enfin d’assurer au pays une croissance de qualité, source de développement soutenable.

    C’est le progrès socio-économique qui est recherché et non des avancées purement matérielles au détriment des valeurs familiales, sociétales et environnementales.

    Il ne reste plus qu’à souhaiter voir dans le prochain budget une attention particulière aux mesures à prendre pour enclencher la mise en route de Maurice vers l’acquisition, dans le respect des valeurs et le règne de la paix sociale,  du statut de pays à revenu élevé.

    Publié  dans Week-End, le 3 août 2014

     

    31/07/2014 Pierre DINAN